Alertée par la médecine d
En 2004, une vague de suicides avait révélé au grand public la souffrance au travail endurée par les personnels de la centrale de Chinon (Indre-et-Loire). Depuis, médecins et délégués syndicaux n'ont eu de cesse de dénoncer la dégradation des conditions de travail et le manque d'effectifs. "Certains cadres réalisent près de 72 heures par semaine, c'est ahurissant" déplore Guy Cleraux, délégué CGT. La direction de la centrale qui avait nié dans un premier temps les problèmes d'organisation s'est engagée à augmenter le nombre de salariés.
France3.fr
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